LE MICROBIOTE
Thème :
Santé
:
Ensemble des micro organismes-champignons, bactéries, virus- non pathologiques qui vivent dans un environnement spécifique.
- La peau
- La bouche
- Le vagin
- Les intestins- IG et GI-
Il existe environ 100 000 000 000 000 soit 100 mille milliards de micro organismes, 2 à 10 fois plus que le nombre de nos cellules.
Ce qui représente à peu près 2 Kg de notre poids.
Le microbiote intervient dans les fonctions digestives, métaboliques, immunitaires et neurologiques.
La dysbiose ou altération de la flore intestinale est une piste sérieuse pour comprendre l’origine des maladies, notamment auto-immune et inflammatoires.
Le microbiote intestinale est propre à chacun, unique sur le plan qualitatif et quantitatif.
Il existe environ 160 espèces de bactéries dans le microbiote intestinal.
La moitié serait commune à tous les individus.
Il existe aussi des virus-bactéries dans le microbiote.
Il se constitue dès la naissance au contact de la flore vaginale de la mère ou de l’environnement en cas de césarienne.
Puis il y a diversification par l’alimentation, la génétique, les traitements médicaux et l’environnement.
Sa composition évolue en quantité et en qualité au cours des premières années de la vie.
Un traitement par antibiotiques la réduira de quelques jours à quelques semaines suivant le temps de prise.
Tous les micro-organismes jouent un rôle directement dans la digestion :
- Fermentation des substances et résidus alimentaires non digestibles.
- Facilitation de l’assimilation des nutriments grâce à des enzymes dont l’organisme n’est pas pourvu.
- Assurer l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose
- Participer à la synthèse des vitamine K, B12, B8…
- Régler les voies métaboliques par l’absorption des acides gras, du Ca et du Mg.
Le microbiote participe pleinement au fonctionnement du système immunitaire.
Il est indispensable au rôle barrière de la paroi intestinale soumise dès la naissance à un flot d’antigènes d’origine alimentaire et microbien.
Ainsi les bactéries eschérichia coli luttent directement contre la colonisation du tube digestif par des espèces pathogènes.
Dès les premières années de la vie, le microbiote est indispensable pour que l’immunité intestinale apprenne à distinguer les espèces amis et pathogènes.
Les maladies intestinales chroniques inflammatoires ( mici) comme la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique sont liées à une activation inappropriée du système immunitaire dans l’intestin.
On parle aujourd’hui de « Neuropsychiatrie » influencé par l’axe cerveau-intestin, pour relier les pathologies psychiatriques en lien direct avec un dysfonctionnement intestinal.
Il existe environ 200 millions de neurones entre le cerveau et les intestins, dont 80% sont des fibres afférentes en direction du cerveau, ce qui nous fait dire que l’intestin est notre 2e cerveau.
D’après des chercheurs, une modification du microbiote peut modifier l’information transmise au cerveau.
On peut voir par exemple aujourd’hui avec le régime cétogène hypo-toxique, qu'on obtient des résultats très positifs dans les pathologies telles que l’anxiété, la dépression, la schizophrénie, l’autisme, les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.
Un formidable espoir pour des pathologies aussi lourdes et en recrudescence.
LE MICROBIOTE
Définition
Ensemble des micro organismes-champignons, bactéries, virus- non pathologiques qui vivent dans un environnement spécifique.
- La peau
- La bouche
- Le vagin
- Les intestins- IG et GI-
Il existe environ 100 000 000 000 000 soit 100 mille milliards de micro organismes, 2 à 10 fois plus que le nombre de nos cellules.
Ce qui représente à peu près 2 Kg de notre poids.
Rôle
Le microbiote intervient dans les fonctions digestives, métaboliques, immunitaires et neurologiques.
La dysbiose ou altération de la flore intestinale est une piste sérieuse pour comprendre l’origine des maladies, notamment auto-immune et inflammatoires.
Constitution
Le microbiote intestinale est propre à chacun, unique sur le plan qualitatif et quantitatif.
Il existe environ 160 espèces de bactéries dans le microbiote intestinal.
La moitié serait commune à tous les individus.
Il existe aussi des virus-bactéries dans le microbiote.
Il se constitue dès la naissance au contact de la flore vaginale de la mère ou de l’environnement en cas de césarienne.
Puis il y a diversification par l’alimentation, la génétique, les traitements médicaux et l’environnement.
Sa composition évolue en quantité et en qualité au cours des premières années de la vie.
Un traitement par antibiotiques la réduira de quelques jours à quelques semaines suivant le temps de prise.
Fonctionnement
Tous les micro-organismes jouent un rôle directement dans la digestion :
- Fermentation des substances et résidus alimentaires non digestibles.
- Facilitation de l’assimilation des nutriments grâce à des enzymes dont l’organisme n’est pas pourvu.
- Assurer l’hydrolyse de l’amidon, de la cellulose
- Participer à la synthèse des vitamine K, B12, B8…
- Régler les voies métaboliques par l’absorption des acides gras, du Ca et du Mg.
Le microbiote participe pleinement au fonctionnement du système immunitaire.
Il est indispensable au rôle barrière de la paroi intestinale soumise dès la naissance à un flot d’antigènes d’origine alimentaire et microbien.
Ainsi les bactéries eschérichia coli luttent directement contre la colonisation du tube digestif par des espèces pathogènes.
Dès les premières années de la vie, le microbiote est indispensable pour que l’immunité intestinale apprenne à distinguer les espèces amis et pathogènes.
Pathologies en lien
Les maladies intestinales chroniques inflammatoires ( mici) comme la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique sont liées à une activation inappropriée du système immunitaire dans l’intestin.
On parle aujourd’hui de « Neuropsychiatrie » influencé par l’axe cerveau-intestin, pour relier les pathologies psychiatriques en lien direct avec un dysfonctionnement intestinal.
Il existe environ 200 millions de neurones entre le cerveau et les intestins, dont 80% sont des fibres afférentes en direction du cerveau, ce qui nous fait dire que l’intestin est notre 2e cerveau.
Espoirs
D’après des chercheurs, une modification du microbiote peut modifier l’information transmise au cerveau.
On peut voir par exemple aujourd’hui avec le régime cétogène hypo-toxique, qu'on obtient des résultats très positifs dans les pathologies telles que l’anxiété, la dépression, la schizophrénie, l’autisme, les maladies de Parkinson et d’Alzheimer.
Un formidable espoir pour des pathologies aussi lourdes et en recrudescence.